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mercredi 21 juillet 2010

Madagascar (Première partie / primera parte)

Trois semaines que nous sommes arrivés à Antananarivo.
Trois semaines ou presque sans Internet, Téléphone, et parfois (souvent?) d'électricité. Il était difficile de publier un blog décent dans ces conditions. C'est la raison pour laquelle cet article devrait être un peu long... Nous allons le couper en deux pour que cela corresponde plus au timing selon lequel il a été écrit.Pour les photos, il faudra patienter un peu. Le débit de Tana n'est pas suffisant pour charger ce que l'on a à vous montrer.
Donc Madagascar 1.
Nous voulions prendre une claque. Hé bien, voilà, ça, c'est fait!
Comment décrire ce que l'on voit autrement qu'en livrant des impressions fugitives, des morceaux de vie, tant il y a de contrastes sur cette terre.
Arrivée à l'aéroport. Première demande de Bakchich du voyage, juste sous...une affiche de lutte contre la corruption! (« La corruption ne passera pas par Madagascar! »). C'était facile de refuser. Autant le dire tout de suite, et surtout avant d'oublier de le faire: c'est la première et dernière fois que l'on nous aura demandé un Bakchich.
Sortie chaotique de l'aéroport. Il y a des gens partout. Pablo pleure. On ne comprend pas très bien où il faut aller. Nous sommes sollicités de toute part pour monter dans des taxis de fortune. Nous optons pour le « taxi agréé ». Une manière de se rassurer et de se raccrocher aux branches de ce que l'on connaît.
Hery, le chauffeur, est très apaisant et nous amène à la concession où nous devons loger en nous racontant Tana. En fait, lorsqu'il nous parle de misère, pas besoin de l'écouter, tant elle se trouve partout.
Égouts éventrés. Rats. Enfants des rue qui s'aménagent des logements avec du carton dans des doubles cabines téléphoniques désaffectées. De jeunes filles qui errent dans la rue avec un bébé sur le dos. L'économie est par terre. La plupart des gens errent dans la rue avec pour seule occupation visible de chercher de quoi subsister pour la journée. 
Le chauffeur nous dit qu'il ne fait pas bon du tout sortir dans la rue pour les Vazaah (les étrangers) après la tombée de la nuit. Mise en garde que les gardiens nous répètent tout de suite en arrivant. Puis les propriétaires. Puis l'épicier chez qui nous allons acheter les produits de base pour dîner le premier soir. Pas rassurant tout cela! Voire légèrement anxyogène...

 Ya hace tres semanas que hemos llegado a Antananarivo (Tana)

Tres semanas o casi sin internet, sin telefono y a veces (muy amenudo) sin electricidad. No podiamos actualizar nuestro blog en tales condiciones. Razon por la cual este articulo sera un poco mas largo....Lo haremos en dos fases para que corresponda major con nuestra organizacion.
Bueno Madagascar.
Queriamos ver algo diferente...pues aqui estamos servidos !!!
Como describiros lo que vemos sin transmitiros solo impresiones furtivas o pedazos de vida en esta tierra de contrastes.
Llegada al aeropuerto. Primera cosa que nos piden en la duana/policia dinero...justo encima del tio habia una pancarta publicitaria de lucha contra la corrupcion! (« No habra corrupcion en Madagascar! ») Por supuesto Mariluz se nego a dar un centimo por ningun servicio a cambio.
Salida caotica del aeropuerto. Gente por todos los lados. Pablo que llora. No sabemos muy bien por donde tenemos que salir. Todo el mundo se nos hecha encima para que cojamos sus taxis (si se les pueden llamar asi). Nos decidimos al final por coger un taxi registrado. Una manera de darnos confianza y de agarrarnos a lo que conocemos.
Hery, el conductor, nos habla de la miseria, pero no hace falta contarnosla, porque se ve por todas partes: Alcantarillado a cielo abierto, ratas, ninos en las calles que se montan casas en cabinas telefonicas abandonadas, ninas muy jovenes que se pasean con sus bebes en la espalda. La economia esta por los suelos. La mayor parte de la gente erra por la calle con la unica preocupacion que es el de encontrar algo de dinero o de comer para poder pasar el dia.
El taxista nos explica que es muy peligroso para los vahaza (extranjeros) salir por la calle despues del anochecer (a las 18H). Nos lo repiten los guardianes de la casa donde nos alojamos, y los proprietarios, y el dueno de la tienda donde vamos a comprar algunas cosillas para cenar.
O sea que tela! Un poco flipante.

Le lendemain, nous nous levons tôt pour visiter la ville. L'impression est confirmée: Tana est une ville très dure. Angoissante. Les gens y semblent tristes, mélancoliques. Pas vraiment une destination de rêve pour touristes en quête d'exotisme léger.
Nous partons de la ville basse, son marché ouvert, son avenue de l'Indépendance, puis remontons les escaliers vers la place de l'Indépendance, à travers les marchands de faux-tampons officiels. La débrouille va loin ici.
Nous arrivons dans le quartier des Ministères. Quelques hommes d'affaires, des notables, et toujours pas un touriste européen à la vue. La crise de 2009 a tué le tourisme dans l'oeuf dirait on. Oh, notre civilisation est bien présente ici. Deux boutiques de luxe, dont je tairais le nom par miséricorde, sont installées en face du ministère des Finances. Personne ne se fait d'illusion sur l'origine de l'argent qu'utilisent les clients de ces boutiques, mais c'est comme ça: révoltant, mais nos interlocuteurs semblent résignés.
Nous montons petit à petit vers le quartier du Palais de la Reine...et ma foi, je dois bien avouer que l'on a payé nos années d'inactivité sportive pendant cette escalade. Les vues sur Tana sont à couper le souffle. Tout le monde vous dit bonjour. C'est agréable.
Arrivés à quelques centaines de mètres du palais, nous commençons à converser avec un jeune étudiant en histoire, qui très adroitement nous amène d'une conversation banale à une visite guidée payante. C'est le jeu, et il s'en sort très bien, en nous faisant le tour de la forteresse et en nous amenant dans des ruelles où nous ne nous serions jamais aventurés seuls.
Magnifiques vue de Tana, découverte des « portes d'entrée obligée des étrangers », où des pierres circulaires verticales que l'on faisait rouler pour interdire l'accès à la cité servent d'ouvrant. Impressionnant. On retrouvera cela dans tous les palais que nous visiterons.
Déjeuner au Rova, petit ilôt de calme qui surplombe Tana, puis retour au bercail à pied. Épuisés mais ravis d'être revenu sur notre première impression.
Le lendemain, avec le chauffeur de taxi qui nous avait amené depuis l'aéroport, nous sortons au nord de Tana, à une trentaine de kilomètres, afin de visiter un parc de lémuriens.
Au bout de quelques kilomètres l'ambiance change rapidement, et l'on se retrouve très rapidement dans une paisible campagne aux collines rougeoyantes. Parfois des airs de Toscane, parfois de Provence...avec le clocher du village. C'est très troublant, car nous sommes à l'autre bout du monde.
Le site aux lémuriens est un petit trou de verdure où chante une rivière, accrochant follement aux herbes des haillons d'argent... Euh, je m'emballe et je plagie là. Enfin, cela correspond assez au paysage. La rivière en contrebas est rouge de la latérite qu'elle charrie. Le parc a été aménagé magnifiquement, et les guides qui vous accompagnent obligatoirement, sont de très bon niveau. Sincèrement un exemple en la matière.
Quand aux habitants du parc, qu'en dire? C'est magique d'être à quelques mètres de ces animaux uniques en liberté. Pablo, ne savait plus vraiment où donner de la tête. On a adoré le lémurien sauteur, et sa démarche de bipède en crabe.
Le premier qui dit qu'il y a une ressemblance, je m'occuppe de lui à mon retour!
Ensuite, l'après midi, visite d'un autre site magique, un des Rova(lire Palais) de la colline bleue. Il n'y a personne, et c'est un paysage encore une fois extraordinaire qui nous attend. Petit site, mais complètement enchanteur.

Donc vous l'aurez compris, au bout de quelques jours, la rudeur de la première image avait disparu pour faire place à un émerveillement sincère.
Après un jour de flannerie dans Tana, nous entreprenons donc derrière notre premier grand déplacement dans le pays: Tamatave. 
Léger crachin sous les tropiques
 Al dia siguiente, con el conductor de taxi que nos llevo desde el aeropuerto, nos vamos al norte de Tana a unos trenta kilometros, con el fin de ver el parque de los lemures.
Al cabo de unos kilometros el ambiente cambia rapidamente, y nos encontramos rapidamente en el campo con sus colinas de tierra roja. A veces tenemos la impresion de estar en Toscana, a veces en la Provenza ….con el campanario de la cuidad. Es increible y confuso ya que nos encontramos al otro borde del mundo.
El parque de los lemures es un pequeno paraiso de verdura con un pequeno rio a travesandolo rojo debido a la laterita. El parque esta perfectamente adapatado al habitat de los lemures y los guias que nos acompanan bien formados y con un buen nivel en el tema. Sinceramente un ejemplo a tomar.
En cuanto a los habitantes del parque, que deciros? Es magnifico poder estar a tan solo unos metros de estos animales unicos en libertad. Pablo estaba como loco mirando por todos los lados. Nos encanto el lemuriano saltador y su manera de andar como un cancrejo.
Despues, por la tarde, visitamos otro sitio maravilloso, el Rova (leer el Palacio) sobre la colina azul. No hay nade y es un paysaje una vez mas extraordinario. Es un sitio pequeno pero con mucho encanto.
Enfin ya lo habeis entendido, al cabo de unos dias, la rudeza de la primera imagen habia desaparecido para dejar sitio a un amaravillamiento sincero.
Tras un dia sin hacer absolutamente nada en Tana, comenzamos nuestro primer gran viaje en el pais: Tamatave.
Cela aura été une journée difficile. Sale route. Longue route. Le Pablo malade comme un chien dans les virages (je vous passe les détails, mais nous sommes arrivés au terme du voyage sans un vêtement propre, ni pour lui, ni pour nous...Ce qui me fait penser que j'ai oublié de vous raconter comment il était tombé dans un nid de fourmis rouges il y a dix jours, et qu'il avait reçu une cinquantaine de morsure en une dizaine de secondes.)
Donc j'en étais où? Ah oui, Pablo malade, puis insupportable à l'arrivée. Heureusement que notre amphytrion, Annie Brassens, nous a réservé un accueil si extraordinaire que au bout de quelques heures nous avions (presque) oublié la fatigue du voyage.
A noter, l'incroyable changement de paysage entre Tana, ses collines rouges et ses rizières, et la jungle tropicale de la côte ouest, ses collines entières remplies d'arbres du voyageurs, ses palmeraies dignes de celles d' «Azur et Asmar», ses rivières, ses rivières, et ses rivières.
Annie, que nous ne connaissions pas, est la cousine de François Brassens, expert ès-amiante, lecteur de ce blog (enfin, c'est ce qu'il m'avait dit) et que je fréquente professionnellement depuis de nombreuses années.
Elle nous a ouvert sa maison, aidé dans les démarches pour le bateau du lendemain, fait visité quelques endroits de Tamatave, et pour finir invités dans une des restaurants les plus...romantiques, au sens littéral du terme, que je connaisse. Un lieu entre Cuba et la Louisiane, entre « l'amour au temps du choléra » et « chez Rick » à Casablanca (le nom « les jardins des délices » pour ceux qui par hasard se trouveraient à Tamatave.
La ville en elle même est parcourue de pousse-pousse (alors un « s » à pousse ou pas de « s »? :-) ) sans doute un héritage des coolies chinois venus creuser le canal des Pangalanes pour la France au Sud de la ville. La ville possède le réseau de rues le plus pourri que je connaisse. La ville a le charme surrané des anciennes villes comptoirs. Un peu abandonnée, un peu au bout du monde, un peu remplie de vies extraordinaires sans doute. Nous n'aurons pas le temps de vérifier, car, au grand désespoir d'Annie, notre bus nous attend à 6h du matin le jour suivant.
Bus pour Ivoenaga. 3 heures de route en mini-bus. Nid de poules partout. Alternance de pointes de vitesses effrayantes sous la pluie et de séquences où nous rebondissons dans tous les sens...ce qui semble plaire à Pablo, qui s'en endort dans mes bras.
L'embarcadère pour l'Ile Ste-Marie
Nous arrivons dans un petit village fluvial où nous attend la vedette qui doit nous déposer à Sainte-Marie. On nous avait dit que cela pouvait être dangereux, mais ce que nous prenons pour la mer nous semble étrangement calme.
Nous déchantons très très vite. A peine à quelques centaines de mètres du port, nous devons franchir une barre, entre la rivière et la mer, et j'ai vraiment cru que nous allions devoir rentrer à la nage sur la côte. A peine de temps de souffler car une fois franchi, c'est une mer démontée qui nous attend derrière. Des creux de plusieurs mètres, avec la vedette qui tape très sèchement à chaque passage de vague...là pour le coup, je crois que j'ai passé une des plus grandes peur de ma vie, et que nous allions couler, dans une mer infestée de requins, sans l'Abeille-Fandre pour venir nous chercher, sans l'hélicoptère des CRS pour nous remonter en treuil sur terre ferme, enfin bref j'ai eu les chocottes, pas parce que la mer était si forte que ça, mais parce que la vedette me semblait sous-dimensionnées pour la tenir. Les vraies chocottes les amis. Ca dure une heure quand même.
Bon, le bon dieu a mis un gyroscope dans la tête des bretons pour éviter que nous ne vomissions partout. Cela n'était visiblement pas le cas de tous les Malgaches.
Toujours est il qu'au bout de cette pénible traversée, nous sommes arrivés dans une espèce de paradis. Une vraie récompense. L'Ile Sainte-Marie.
Quelle douceur. Quelle beauté. Quelle tranquillité. Nous apercevons au loin au moment de débarquer notre première baleine, et un sympathique chauffeur de taxi (j'aurai trouvé tout le monde sympathique après avoir été brimqueballé comme une noix pendant une heure) nous a déposé à l'hôtel de la Baleine.
Ce sont des cases malgaches, bois et toiture en feuilles de palmier. Très sommaire, avec le stricte nécessaire. Aucun luxe. C'est l'hotel le plus sommaire dans lequel j'ai mis les pieds de ma vie. Mes les amis, si un jour je disparais, ne cherchez pas trop, c'est ici que l'on me trouvera...
VTT St-Marien équipé pour bébés
C'est de là que je vous écris, par la fenêtre du bungalow, je vois la mer à 5 mètres. Le Gwen ha du flotte fièrement au vent. Pablo joue sur la plage. Je viens de voir de voir sauter un baleine à bosse à quelques centaines de mètres. Il n'y a pas d'autre bruit que celui des vagues. La nuit promet d'être étoilée. On va manger du poulet grillé sur la plage.
Demain nous irons avec le propriétaire des lieux voire les baleines avec sa barque.
Le Pablo sautille à Ste-Marie
Il avait raison Gérard: « On n'est pas bien là? À la fraîche... » je vous laisse finir la phrase, moi je vais dîner. 
Espagnol-Breton dans toute sa splendeur
To be continued...
Fue un dia dificil. Con una muy dura carretera. Una larga carretera. Pablo mareado todo el viaje y sobretodo durante las curvas (la mitad del viaje). No entrare en los detalles pero llegamos al destino sin practicamente ropa limpia ni nuestra ni de Pablo. Lo que me hace pensar que me olvide de contaros que se cayo en un nido de hormigas rojas hace unos diez dias y que le habian recibid unas cincuenta mordeduras de hormiga en unos segundos.

Enfin donde estaba? A si Pablo enfermo, y despues insoportable a la llegada. Menos mal que nuestra anfitriona, Annie Brassens, nos reservo un acogida extraordinaria y al cabo de unas horas nos olvidamos (casi) del cansancio del viaje.
Hay que senalar el cmabio de paisaje entre Tana, sus colinas rojas y sus arrozales y la jungla tropical de la costa Oeste, sus colinas llenas de arboles del viajero, sus palmerales como los de Elche o las de « Azur y Asmar », sus rios, sus rios, y sus rios....
Annie, a la que no conociamos hasta ese dia, es la prima de François Brassens, un experto en amianto, lector del blog (bueno es lo que dice) y al que veo en el marco profesional desde hace muchos anos.
Nos abrio su casa, ayudo con el viaje en barco a Sainte Marie, nos enseno algunos lugares en Tamatave y para colmo nos invito a uno de los restaurantes mas....romanticos, en el sentido literal de la palabra, que conozco. Un lugar entre Cuba y la Luisiana, entre « el amor en tiempos de colera » y « Chez Rick » de Casablanca (el nombre « el jardin de las delicias » para aquellos que por casualidad se encontrasen en Tamatave.
La cuidad esta llena de ciclocarretas (no se como se dice en espanol) sin duda una herencia de los coolies chinos que vinieron a escavar el canal de los Pangalanes por Francia en el Sur de la cuidad. La cuidad pose las calzadas/aceras mas infames que yo conozca. La cuidad tiene el encanto de las viejas cuidades coloniales. Un poco abandonada, un poc en el fin del mundo, un poco llena de vidas extraordinarias seguramente. No tendremos tiempo de verificarlo, ya que coge el autobus a las 6H de la manana al dia siguiente.
Autobus hacia Ivoenaga. 3 horas de carretera en mini bus. Lleno de socabones. Alternamos constantement de velocidades bajo la lluvia y saltamos y saltamos en todos los sentidos....lo que parece hacerle gracia a Pablo que se duerme en mis brazos.
Llegamos a un pequeno pueblo fluvial donde nos espera el ferri que tiene que llevarnos a la isla de Sainte Marie. Nos habian dicho que podia ser un poco peligroso pero el mar nos parece estar tranquilo...
Rapidamente nos damos cuenta de que no es asi. Apenas unos metros tras el puerto, tenemos que atraversar una barra, entre el rio y el mar, y realmente pense que tendriamos que regresar nadando a la costa! No tenemos a penas tiempo de recuperarnos del susto cuando empezamos a penetrar en el mar revuelto. Unas olas de varios metros y el ferri que colpea fuertemente contra ellas....es os aseguro que pase uno de los peores momentos de mi vida y que ibamos a naufragar en un mar lleno de tiburones sin que nadie venga a rescatarnos... enfin que estaba acojonado ya no porque el mar estuviese revuelto sino por que me parecia que el ferri no tenia la capacidad necesaria para poder afrontar este un mar enardecido. Acojonadisimo. El trayecto dura una hora!
Y menos mal que dios puso un giroscopio en la cabeza de los bretones para evitar que vomiten por todos los lados...no fue el caso de todos los pasajeros. Habian cubos de agua por todo el ferri para quien lo necesitase.
Bueno y tras tortura de crucero, llegamos sanos y salvos a una especie de paraiso. Una verdadera recompensa. La Isla de Sainte Marie.
Que dulcura. Que belleza. Que tranquilidad. Vemos a lo lejos en el momento del desembarque nuestra primera ballena y un simpatico conductor de taxi (todo el mundo me parecia simpatiquisimo tras la travesia) nos dejo en el hotel la Ballena.
Nos alojamos en unas cabanas tipicas del pais, construidas de madera y el techo de hojas de palmera. Muy basicas y sobrias con lo justo. Sin ningun lujo. De echo es el hotel mas sobrio en el que he puesto mis pies. Pero mis queridos amigos, si un dia desaparezco, no me busqueis muy lejos, aqui me encontrareis....