Nous arrivons en soirée à Johannesbourg. On nous a tellement rabattu les oreilles avec les problèmes de sécurité sur cette ville, que nous faisons attention à tout et sommes un peu tendus.
Nous sommes joyeux d'être ici.
Madagascar aura été une très belle expérience, mais les transports nous ont épuisés. Nous savons qu'ici le tourisme est plus facile.
Notre contact, Rob, tenancier d'un backpackers à proximité de l'aéroport, vient nous chercher immédiatement. Ambiance cool dans son auberge. Lui-même ressembe à un grand adolescent resté bloqué sur Pink Floyd. Il est marié à une Sud Africaine et vit ici depuis 13 ans. Le garçon est très sympa.
Nous avons une grande chambre pour nous trois, tout le reste est commun avec les autres routards. Ils sont peu à vrai dire. Rob nous explique que pendant la coupe du monde, il y a eu jusqu'à 40 personnes en même temps, mais aujourd'hui nous ne sommes que sept (y compris nous trois). Quarante, ça fait beaucoup Rob pour une grande maison familiale quand même!
Llegamos sobre las 18H30 a Johanesburgo tras 4H de vuelo desde Mauricio. Nous han hablado tanto de los problemas de seguridad de esta cuidad que cuando llegamos intentamos tener cuidado con todo y estamos un poco tensos. Estamos contentos de estar aqui.
Madagascar ha sido una muy bonita experiencia, pero los transportes y el tiempo que se pasa en ellos nos han agotado. Savemos que aqui hacer turismo es mas sencillo.
Nuestro contacto es Rob, que tiene un albergue de jovenes cerca del aeropuerto para trotamundos, y viene a buscarnos inmediatamente tras haberle llamado por telefono avisandole que estabamos en el aeropuerto. El ambiente en el albergue es tranquilo con varios inquilinos de diferentes paises. El mismo parece que sea un « gran »adolescente de la epoca de los pink Floyd. Es un ingles , que esta casado con ua sudafricana y vive aqui desde hace 13 anos. El chico es muy simpatico.
Tenemos una habitacion grande para nosotros tres, el resto del albergue es comun con los otros alberguistas (duchas, cocina, WC....). Seremos unos 7 en el albergue. No hay mucha gente. Rob nos explica que durante la copa del mundo, eran unos 40 personas! Cuarenta personas son muchas personas Rob para una casa familiar....Hablamos con la gente del albergue, tomamos un té, encendemos la estufa electrica (aqui es invierno), damos la leche a Pablo y a la cama.
Le lendemain, Rob nous dépose à l'agence de location de voiture. Nous prenons la route de Pretoria, puis direction le Pilanesberg et Sun City. Les gens ont pris la sale habitude de mettre leur volant à droite, le levier de vitesses à gauche, et de conduire sur la gauche. Après un centaine de kilomètres, le pli est pris, mais j'ai eu quelques suées au début du parcours, notamment de magnifiques prises de tête sur les priorités (à droite? À gauche???) sur le sens dans lequel il fallait entrer dans les rond points, etc.
Nous pensons initialement visiter Sun city l'après midi, puis le lendemain matin faire le Pilanesberg.
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Sandra, Joan, Inaki, et les 3 fantastiques |
Arrivé sur place, alors que nous déjeunons à une terrasse devant l'entrée de Sun City, nous entendons une femme et deux enfants parler en Espagnol et en Anglais. On papote. On sympathise. Sandra, c'est son prénom, est Argentine, et s'occupe de ses deux petits enfants, pendant que sa fille travaille dans Sun City.
Elle nous propose de nous loger chez elle, à l'intérieur de Sun City, pour une somme modeste.
Vu les budgets du logement à l'intérieur de Sun City, nous sommes plus qu'intéressés. Et puis la femme est sympathique. Et on trouve que de voir cette ville du côté des employés, c'est un aspect relativement intéressant et inédit. Elle nous montre la chambre. C'est plus qu'honnête. On ne regrettera jamais ce choix.
Sandra s'est occupé de nous comme une petite mère. Elle nous a fait faire des badges d'accès, organisé des rendez vous avec des gens pour visiter le palace (pour préparer notre mariage, :-)), donné les bons endroits à voir...
On a beaucoup discuté. On a craqué pour ses petits enfants, Inaki et Joan, tellement intelligents, vifs, et adorables. On a regretté de ne croiser Sabrina, sa fille, qu'en coup de vent. Mais on est parti avec le sentiment d'avoir fait une très belle rencontre de voyage.
Sur les lieux ensuite. Adolescent, j'ai detesté Sun City. C'était le symbole de l'Apartheid et de son ignoniminie. Moi qui allait à toutes les manifestations pour la libération de Mandela, qui aurait pu me dire que je mettrais les pieds dans cet endroit?
Il s'agit d'un complexe de loisir. Gigantesque, ahurissant, kitsch, déraisonnable,... Hôtel d'un luxe indécent, le Palace de Lost City est le symbole de ce qu'est ce lieu. Nous avons pu le visiter avec l'aide de Pascal, le réceptionniste Camerounais avec qui Sandra nous a mis en contact. C'est un immeuble somptueux. Les plus grand artisans du monde artisans du monde entier y ont travaillé. Là c'est l'ingénieur bâtiment qui a été impressionné.
Ensuite, le reste est dédié au loisir: golf, lac et sports nautiques, casino, parc de crocodiles,...
On a apprécié de voir ce lieu pour ce qu'il représente, mais ce n'est pas exactement le genre de loisirs que nous recherchons.
Al dia siguiente Rob nos lleva al aeropuerto y nos deja en la compania de alquiler de coches. Dudabamos entre alquilar un coche o una caravana y al final nos decididmos por el coche para poder hacer nuevas amistades en los backpackers (albergues). Nos vamos en direccion de Pretoria y despues hacia el Pilanesberg y Sun City. Aqui la gente tiene la mala costumbre ponenr el volante en la derecha, los cambios de velocidad estan en la izquierda y s conduce por la izquierdaaaaa. Despues de varios kilometros uno se acostumbra, pero reconozco que al principio he tenido varias subidas de adrenalina sobre todo cuando habia que pensar en las prioridades (a la derecha o izquierda??).
Al principio, pensabamos pasar la tarde visitando Sun City y al dia siguiente hacer el parque de Pilanesberg.
Una vez alli, mientras comiamos en una terraza delante de la entrada de Sun City, oimos hablar en espanol e ingles a una mujer y sus hijos. Entablamos conversacion con ellos. Simpatizamos. Se llama Sandra es argentina y se ocupa de toda la familia y en especial de los dos hijos de su hija mientras ella trabaja en Sun City y el marido trabaja en Johanesburgo. Una ayuda inestimable.
Nos propone alojarnos en su casa, en el interior de Sun City, por una precio interesante.
En vista de los precios de los hoteles en Sun City, estamos muy interesados. Y encima la mujer es muy simpatica y acogedora. Y poder ver la cuidad del lado de los empleados que la hacen vivir nos parece un aspecto muy interesante. Nos ensena la habitacion. Esta muy bien. No lamentamos nuestra eleccion.
Sandra se ha ocupado de nosotros como una madre. Nos ha conseguido pases gratuitos para entrar en Sun City, organizado visitas con la gente del hotel Palace, nos ha aconsejado que ver en la zona, etc...
Hemos pasado mucho tiempo hablando. Pablo y nosotros nos enamoramos de sus nietos: Joan e Inaki, tan inteligentes, vivos y adorables. Lastima que no hemos podido pasar mas tiempo con Sabrina, su hija. Pero nos fuimos con el sentimiento de haber hecho un bello encuentro.
En cuanto al sitio. Cuando era adolescente detestaba Sun City. Era el simbolo del Apartheid y de su indecencia. Yo que iba a todas las manifestaciones para la liberacion de Mandela quien hubiese imaginado que iba a poner mis pies en esa cuidad?
Es un complejo de ocio. Gigantesco, delirante, hortero (?), una locura, … hoteles de un lujo indecente, el Palace de Lost City es el simbolo de lo que representa el lugar. Pudimos visitarlo gracias a la ayuda de Pascal, el recepcionista Camerunes del hotel con quien Sandra tuvo la amabilidad de ponernos en contacto. Los artesanos mas prestigiosos del mundo han trabajado en el proyecto del Palace. Y os lo dice el ingeniero en construccion que se quedo impresionado!
El resto esta completamente dedicado al ocio: golf, lagos, deportes acuaticos, casino, parque de cocodrilos etc...
Nos interesaba ver Sun City por lo que representa, pero no es exactamente el tipo de ocio que buscamos.
Le lendemain, Pilanesberg.
Il s'agit d'un ancien volcan d'une vingtaine de kilomètres de diamètres, dans lequel une réserve d'animaux a été créée. En quelque sorte, c'est artificiel, car les animaux ont été importés dans cet enclos. Mais l'espace est tellement vaste, et l'habitat étant l'habitat naturel de ces animaux, qu'on n'a du mal a accolé l'adjectif artificiel à cette réserve.
La journée a donc été passée en voiture, à 20 km/h a rechercher les 6.000 mammifères enfermés dans ce volcan. Un essai avant le Kruger en quelque sorte.
Rhinocéros, bufles, zèbres, girafes, éléphants, hippopotames, gnous, impalas, ...tout y passe sauf les félins. Dommage, mais on se dit qu'on aura plus de chance au Kruger.
Le Pilanesberg organise des visites à pied du Parc (avec rangers armés qui vous accompagnent au cas où, quand même), mais les bébés sont interdits. Dommage, on aurait adoré faire cela.
Le lendemain, route toute la journée. Après des au revoirs émus avec Sandra, nous nous rendons à l'Est du Pays. Au mythique Parc Kruger.
Les portes ferment à 18h00, et nous n'avons rien réservé. Autant dire que c'est loin d'être gagné. On nous a déjà ri au nez en nous disant qu'au Kruger il fallait réserver son logement plusieurs mois à l'avance. Mais nous sommes hors week end, vacances scolaires, et coupe du monde. On se dit que ça devrait aller.
Je me perds à quelques kilomètres de l'entrée du Parc. Et nous arrivons à la barrière à 17h30. Le garde fait la grimace, nous dit qu'en juillet les camps ferment à 17h30!
Il me laisse me rendre à la réception, je négocie avec la dame, elle a un peu pitié, et m'explique qu'il reste un bungalow à Pretoriuskop, à 8km de là. Je prends. Ils appellent une escorte du camps qui vient nous chercher (genre les gros boulets). La nuit est tombée. Il n'y a pas un bruit et nous faisons en voiture les 10 km qui nous séparent du camp. Nous sommes impressionnés d'être dans cet endroit. L'ambiance est terrible. Le Kruger est un lieu qui en impose.
Le camp et le bungalow sont supers. Les huttes et les bungalows sont construits en cercle, et au milieu, des impalas viennent passer la nuit en sécurité. Ils s'en iront au petit matin, remplacés par les singes qui viennent faire les poubelles de la veille.
Ensuite, le reste n'est que longue promenade en voiture dans la jungle et la savane, avec au détour d'un virage la surprise de découvrir qui une rivière, qui un éléphant, qui une girafe... C'et magique. Et comble de tout: il n'y a presque personne dans le parc. On a eu de la chance, mais on avait visé juste.
Le soir, nous trouvons un bungalow au camp Olifant. Incroable vue à 100m au dessus de la rivière. Les éléphants viennent s'y abreuver au coucher du soleil. C'est à tomber par terre.
Le lendemain, nous sortons en milieu de matinée du Parc. On s'est levé à 5 heures pour optimiser nos chances de croiser des félins, mais rien, nada, que dalle, woualou,...Pas un lion, un léopard, un guépard, un characal, une hyène,... On a vu absolumment tout le reste, mais pas de félins.
Cela restera un grand regret. Pourtant, on s'est levé tôt, on est allé lentement, on a scruté, on a fait 25 heures de safari en tout entre le Kruger et le Pilanesberg. Mais bon, c'est justement cette incertitude qui fait la différence entre la sortie Safari et la sortie au Zoo. Donc, on fera mauvaise fortune bon coeur, et promis on ira à Vincennes à notre retour.
De toute manière, rien que pour les paysages, les silences (jamais je n'ai entendu de tels silences de ma vie), l'ambiance extrêmement mystérieuse du parc, cela valait le coup.
Nous avons ensuite pris la superbe route de la Blyde River Canyon. Les Three Rondavels. Sublimes, mais ça ne nous a pas beaucoup ému. Un peu de fatigue peut être.
Le lendemain, route interminable vers Santa-Lucia et son parc naturel. Grosse peur sur la route entre le poste frontière du Swaziland et le village de Pig's Peek. Première amende du voyage « pour arrêt intempestif au milieu de la chaussée » (en fait j'avais mis mon clignotant en centre ville, m'était rapproché du trottoir pour demander mon chemin). Peu d'entre vous pourront se targuer d'avoir été pénalisé par la police royale du Swaziland, moi oui!
Il paraît qu'on peut croiser des hyppopotames dans les rues de Santa Lucia (et pas les rose du delirium tremens). On vous dira ça.
Al dia siguiente nos
fuimos al Pilanesberg.
Es un parque creado en un
viejo volcan de unos 20km de diametro, en el cual hay una reserva de
animales. De cierto modo se puede decir que es artificial ya que
hantenido que importar a los animales. Pero el lugar es tan vasto y
es el habitat natural de los animales que cuesta decirse que es
artificial.
El parque se visita en
coche. No se puede salir de el. Asi que hemos pasado el dia en el
coche a 20Km/h a la busqueda de 6000 mamiferos encerrados en el
volcan. Una prueba antes de ver el historico parque Kruger.
Rinoceroces, bufalos, zebras, girafas, elefantes, hipopotamos,
antilopes....vemos a todos os animales excepto a los felinos.
Lastima, los veremos en Kruger.
El Pilanesberg organiza
visitas en el parque (con autobuses abiertos todo terreno con gente
armada en caso de problema....) pero por desgracia los ninos/bebes
estan prohibidos. Nos hubiese gustado hacer un circuito con ellos.
Que adrenalina!
Al dia siguiente, nos
pasamos todo el dia en el coche. Despues una despedida emotiva con
Sandra, nos vamos hacia el Este del pais. Al mitico parque Kruger.
Queremos dormir dentro el parque.
Las puertas cierran a las
18H y no hemos reservado nada. No sabemos si llegaremos a tiempo.
Normalmente hay que reservar el alojamiento varios meses antes. Asi
que ya veremos....como no estamos en fin de semana y ya se ha acabado
la copa del mundo...veremos si tenemos suerte.
Me pierdo a varios
kilometros antes de encontrar la entrada del parque. Al final
llegamos a la barrera de la entrada a las 17H30. El guarda nos mira
sorprendido y nos dice que en julio los campamentos donde nos tenemos
que alojar cierran a las 17H30!!!.
Me deja ir a la
recepcion, negocio con la recepcionista, creo que se apiada de
nosotros, y me dice que queda un bungalow en el campamento de
Petoriuskop a unos 8km de alli. Lo cogemos. Llaman y viene una
escolta a buscarnos. Ya es de noche. No hay ni un ruido, hacemos los
10km que nos separan del campamento. Estamos impresionados de estar
en ese lugar. El ambiente es terrible. El Kruger es un lugar que
impone. El parque es grande como Holanda y debe de haber unos 200000
animales!
EL campamento y el
bungalow son preciosos. Son bungalows tipicos de la region construido
en circulo y en el medio hay antilopes que vienen a resguadecerse la
noche de los depredadores. Se van por la manana y les remplazan los
monos que vienen a ver que encuantran en las basuras del dia
anterior.
Despues el resto no es
mas que un largo paseo en coche a traves de la jungla y la selva (la
savana) con la ilusion tras una curva de descubrir un rio, un
elefante, una girafa....es magico. Il el colmo es que no hay casi
gente en el parque. Esta vez hemos tenido suerte.
Por la noche, nos vamos a
un nuevo bungalow en el campamento de Olifant. Hay unas vistas
sublimes del rio que atraviesa la selva. Los elefantes y otros
animales van a beber y a banarse o a atravesar el rio con la caida de
la noche. La vista es impresionante corta la respiracion.
Al dia siguiente, salimos
del parque a mediodia. Nos hemos levantado a las 5 horas de la manana
para optimizar las oportunidades de poder ver a un felino, pero nada,
no vemos ni uno, que lastima! Ni un leon, un leopardo, un guepardo,
una hiena...Habremos visto todos los animales enumerados
anteriormente pero no hemos visto ningun felino! Se nos quedara como
una espinita clavada. Y por lo tanto, nos hemos levantado temprano,
hemos conducido lentamente, hemos observado, hemos hecho unas 25
horas de safari entre el Kruger y el Pilanesberg. Pero bueno, esto es
asi, es justamente la incertidumbre lo que hace la diferencia entre
el safari y el zoo.
Recordare ademas de los
animales, los paisajes, los silencios (nunca habia oido tales
silencios en mi vida), el ambiente estremadamente misteriodo del
parque, todo ello hace que valia la pena hacerlo.
Despues hemos cogido la
super carretera del Byde River Canyon. Las vistas de las 3 Rondavels
(es asi como llaman a las casas tipicas de Sudafrica). Sublimes, pero
no nos han emocionado. Quizas debido al cansancio.
Al dia siguiente, camino
de Santa Lucia y su parque natural. Decidimos entonces de atravesar
el pais de Zwaziland para llegar a Santa Lucia. El Swaziland es un
pequeno pais donde la esperanza de vida es de 40 anos debido a los
estragos del Sida. Es un reino y dicen que su rey tiene 15 mujeres.
Sus cuidadanos no hacen mas que pedir ser una provincia mas de
SudAfrica. Nos ponen la primera multa del viaje debido a una parada
intempestiva en medio de la calzada (en realidad me pare en un lado
poniendo el intermitente para preguntar a un transeunte como llegar a
un sitio). Enfin pocos de netre nosotros podran chulear de haber sido
multado en Swaziland, yo si!
Parece ser que podemos
cruzarnos en la calle de Santa Lucia con hipopotamos (y no
precisamente los rosas del delirium tremens). Y si vas temprano a la
playa te puedes cruzar con un leopardooooo. Ya os lo diremos.